Vendredi 22 et vendredi 29 mars 2024
LES PRINTANIERES
VENDREDI 22 MARS #1
19h ::::: soupe Coréenne
KISAENG MANGO MACHINE 기생 망고 마신 - POST ASIAN SONGS -
À la fois enfant, vieille femme, rocher, samouraï, et aquarium... ces deux là sont sûrement plus qu'on ne peut en compter.
Des fantômes, des lumières et des paysages, la douceur d'une mélodie, et la fragilité de l'imperfection, ça frise, ça frôle, et ça cherche le danger dans le confort. C'est agréable, hypnotique, beau, doux et brut.
C'est comme La Vie, entre le premier cri et le dernier souffle !
Rémi aux guitares et effets / Moon Hee à la voix, aux percussions et à la danse.
REGARDER >
* Kuroda Bushi > https://www.youtube.com/
* Wabi Sabi > https://www.youtube.com/
ECOUTER > https://
TROUVE PERDU [solo] Gilles Poizat BUGLE, VOIX ET SYNTHETISEUR MODULAIRE
Des chansons à la douceur inquiète. D'étranges mélodies de bugle doublées synthétique. De l'électronique hyper-sensible.
« Gilles Poizat répugne aux démonstrations de force, et préfère jeter ses dés dans l'air, qui sont des ritournelles, petites danseuses plus ou moins enflammées et les regarder amoureusement tourner et s'avancer partout à la fois à la façon de tornades miniatures. Ça peut paraître exagéré mais réellement, dans ses vignettes pas moins tendres qu'emportées, où la musique est partout partout partout, je trouve toujours mille et une raison d'aimer la vie un peu plus intensément, c'est à dire patiemment et simplement (puisque écouter Gilles Poizat c'est comme suivre le cours d'un ruisseau, comme apprendre à reconnaître les oiseaux, comme lancer le petit sur un vélo sans les petites roues pour la première fois, comme la surprise du premier baiser qui recommence etc etc). » Sing Sing (Arlt)
ECOUTER > https://gillespoizat.bandcamp.
REGARDER > https://www.youtube.com/watch?
VENDREDI 29 MARS #2
19h ::::: Miam-miam et pop-corn
MUSIQUES DE FILMS QUI N'EXISTENT PAS CINE-CONCERT
Au départ, il y a le disque de Jérôme Lapierre «Musiques de films qui n'existent pas». Des compositions qui s'impriment dans nos oreilles à la façon d'un film radiophonique. Le compositeur impose son style tout comme il pose un décor : tantôt mélancolique, mystérieux, exalté, romanesque, délicatement passionné, parodique, ténébreux, ou franchement hard-rocké. De cet album est né le désir de créer un spectacle : un ciné-concert construit à partir de la musique.
C'est Didier Bouchet qui, convaincu par le projet, insiste sur l'idée d'un ciné-concert et se propose d'y collaborer.
Jérôme Lapierre se met donc au travail pour faire le film qui n'existe pas. Avec caméras, téléphone portable et Internet, il élabore un étonnant montage d'extraits de films qui l'ont marqué et de séquences artistiques qu'il réalise (Excepté, La Danseuse, réal. L. Morouche).
Par moments, des passages muets ou des intermèdes dialogués interrompent les musiciens et dévoilent aux spectateurs l'écriture d'une trame délicate, d'une mise en scène. L'ensemble est un objet insolite, une orchestration cinématographique qui exalte l'imaginaire des spectateurs et les projette dans une poésie tragique. Le final ne ménage personne...
On y repère diverses influences, de David Lynch à Portishead, d'Ennio Morricone aux Bad Seeds. On embarque sur des routes, des paysages, dans des poursuites automobiles, avec une danseuse, un corbeau… Un dialogue entre musique et image pour guitares, batterie, basse, chant, claviers, machines et bidouilles, pour deux musiciens.
Musiciens: Jérôme Lapierre et Didier Bouchet
> REGARDER > ECOUTER <
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